Cette partie contient de nombreux QCM/QRM corrigés proposés par les auteurs des chapitres pour permettre au lecteur de tester ses connaissances.
Énoncés
QRM1 (chapitre 2)
Concernant les cellules gliales, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Les oligodendrocytes sont trouvés uniquement dans la substance blanche
- Les cellules microgliales peuvent adopter deux états : quiescentes ou activées
- On distingue deux types d'astrocytes selon leur localisation
- Les prolongements astrocytaires forment une couche au contact de la pie-mère, le pied vasculaire
- Un oligodendrocyte peut myéliniser plusieurs segments axonaux
QRM2 (chapitre 2)
Concernant les constituants des neurones, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Les neurofilaments sont des protéines du cytosquelette
- La MBP et la MOG sont des protéines axonales
- L'aquaporine 4 est une protéine synaptique
- La lipofuscine est un pigment insoluble qui s'accumule avec le vieillissement
- La dystrophine est une protéine d'ancrage membranaire
QRM3 (chapitre 2)
Concernant les structures cellulaires qui sous-tendent la contraction musculaire, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- La contraction musculaire implique l'interaction entre actine et myosine, quel que soit le type de cellule musculaire
- Dans les léiomyocytes, la contraction correspond à un raccourcissement des sarcomères
- Dans les rhabdomyocytes, la contraction nécessite l'entrée de calcium dans la cellule au niveau des triades
- La contraction du muscle cardiaque est permise par le couplage mécanique des cardiomyocytes au niveau des stries scalariformes
- La contraction se fait sous contrôle du système nerveux somatique au niveau des léiomyocytes
QRM4 (chapitre 3)
Parmi les tissus suivants, le(s) quel(s) est (sont) capable(s) de générer des cellules musculaires striées squelettiques ?
- Neurectoderme
- Myotome
- Mésoderme céphalique
- Plaque préchordale
- Lames latérales cervicales
QRM5 (chapitre 3)
Parmi les structures suivantes, laquelle (lesquelles) génère(nt) les cellules excitatrices du cervelet ?
- Plaque corticale
- Lèvre rhombique
- Préplaque
- Zone ventriculaire
- Couche moléculaire
QRM6 (chapitre 3)
Parmi les structures suivantes, laquelle (lesquelles) peu(ven)t générer des neurones (quel que soit leur type) ?
- Crête neurale
- Dermatome
- Sclérotome
- Éminence ganglionnaire
- Tube neural
QRM7 (chapitre 4)
Parmi les propositions suivantes concernant les neurotransmetteurs, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?
- Certains acides aminés sont des neurotransmetteurs
- Certains lipides peuvent agir comme des neurotransmetteurs
- La dopamine est le principal neurotransmetteur supra spinal
- La noradrénaline est le médiateur du sommeil
- La sérotonine participe au contrôle de l'humeur
QRM8 (chapitre 4)
Parmi les symptômes suivants, le(s)quel(s) est (sont) observé(s) dans le syndrome sérotoninergique ?
- Constipation
- Myoclonies
- Hypothermie
- Sédation
- Tachycardie
QRM9 (chapitre 4)
Parmi les propositions suivantes concernant la dopamine, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?
- La voie dopaminergique mésocorticolimbique est responsable de la survenue de tremblements chez le parkinsonien
- La dopamine inhibe la sécrétion hypothalamique de prolactine
- Les neuroleptiques antipsychotiques sont des agonistes des récepteurs dopaminergiques centraux
- La dopamine participe au contrôle des fonctions mnésiques
- Les médicaments avec le suffixe « giline » (sélégiline, rasagiline) sont des inhibiteurs de la COMT (catéchol-O-méthyltransférase)
QRM10 (chapitre 5)
L'exposition pendant la soirée et la nuit à la lumière des écrans est globalement déconseillée, car :
- Elle est interprétée comme un signal de jour
- Elle renforce la synchronisation de l'horloge biologique
- Elle permet d'augmenter la pression homéostatique de sommeil
- Elle inhibe la sécrétion de la mélatonine
- Elle peut retarder l'endormissement
QRM11 (chapitre 5)
Concernant le sommeil, quelle(s) proposition(s) est (sont) juste(s) :
- Il faut dormir au moins 8-9 heures, même si l'on est court dormeur
- Il faut respecter son besoin de sommeil qui peut varier d'une personne à l'autre
- Rester au lit beaucoup plus longtemps que la durée habituelle de son besoin de sommeil peut altérer l'effet de la position allongée sur le sommeil
- En cas de dette de sommeil, on renforce la pression homéostatique du sommeil
- En cas de chronotype tardif, le réveil est généralement facile et rapide le matin
QRM12 (chapitre 6)
Face à un symptôme exprimé par un patient, la première étape est d'établir un diagnostic :
- Étiologique
- Syndromique
- Topographique
QRM13 (chapitre 6)
Devant un déficit sensitivomoteur, quel(s) est (sont) le (les) élément(s) en faveur d'une atteinte du système nerveux central ?
- La topographie hémicorporelle
- Le territoire radiculaire de l'atteinte sensitive
- L'abolition des réflexes ostéotendineux
- L'association à une paralysie faciale inférieure homolatérale
- L'association à une paralysie faciale complète controlatérale
QRM14 (chapitre 6)
Une jeune femme de 28 ans consulte car elle se plaint depuis 72 heures de troubles sensitifs de l'hémicorps gauche d'apparition progressive. Elle n'a aucun antécédent. À l'examen, une hypoesthésie de l'ensemble du membre supérieur gauche est constatée, isolée, touchant plus la sensibilité épicritique, sans atteinte faciale. Les réflexes ostéotendineux sont normaux. Quelle(s) proposition(s) est (sont) juste(s) :
- Il s'agit d'une atteinte périphérique par lésion du plexus thoracique
- Il s'agit d'une atteinte centrale médullaire cervicale
- Il s'agit d'une atteinte centrale occipitale droite
- Il s'agit le plus probablement d'une origine vasculaire
- Il s'agit le plus probablement d'une origine inflammatoire
- F.Il s'agit le plus probablement d'une origine dégénérative
QRM15 (chapitre 7)
Indiquez la ou les réponse(s) correcte(s) :
- Des fourmillements déclenchés par le croisement des jambes sont des dysesthésies
- Des sensations de chaleur déclenchées par le toucher sont des dysesthésies
- Des douleurs déclenchées par le toucher sont des allodynies
- L'impression de peau cartonnée peut témoigner d'une atteinte de la sensibilité extralemniscale
- Les douleurs témoignent systématiquement d'une atteinte de la sensibilité extralemniscale
QRM16 (chapitre 7)
Indiquez la ou les réponse(s) correcte(s) :
- La sensibilité superficielle comprend la sensibilité au tact fin et la sensibilité à la douleur et à la température
- Une latérodéviation lors de l'occlusion des yeux à la manœuvre de Romberg indique une atteinte proprioceptive
- Une ataxie proprioceptive se caractérise par une marche avec un abord du pied par la pointe des pieds
- L'arthrokinésie permet de tester la sensibilité profonde
- Une extinction sensitive unilatérale témoigne d'une atteinte du lobe pariétal controlatéral
QRM17 (chapitre 8)
Concernant le syndrome pyramidal, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Un déficit moteur peut être flasque ou spastique en fonction du niveau lésionnel
- Un déficit moteur peut se présenter sous la forme d'une claudication motrice intermittente
- Un déficit moteur au membre supérieur peut se présenter sous la forme d'une main en hyperextension spastique
- Un déficit moteur au membre inférieur peut se présenter par une démarche « en fauchant »
- Un déficit moteur facial peut toucher autant les parties hautes et basses du visage en cas de lésion unilatérale.
QRM18 (chapitre 8)
Concernant le déficit moteur dans le syndrome neurogène, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Le déficit moteur peut être décrit par le patient comme une lourdeur ou une maladresse
- Le déficit moteur est toujours accompagné d'un déficit de la sensibilité et végétatif
- Le déficit moteur est toujours accompagné d'une abolition ou d'une diminution des réflexes ostéotendineux
- Le déficit moteur distal au membre inférieur est caractérisé par un trouble de la marche dénommée « steppage »
- Le déficit moteur est accompagné d'une amyotrophie en début de l'atteinte
QRM19 (chapitre 8)
Concernant le syndrome myasthénique, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- L'atteinte oculomotrice peut être isolée
- La fatigabilité musculaire prédomine en début de journée
- Le déficit moteur prédomine en distalité
- Le déficit moteur peut être accompagné d'un déficit sensitif
- L'atteinte respiratoire peut mettre en jeu le pronostic vital même si le patient marche normalement
QRM20 (chapitre 8)
Concernant le syndrome myogène, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Le déficit moteur est généralement indolore
- Le déficit moteur est généralement distal
- Le déficit moteur est généralement bilatéral
- Le déficit moteur est généralement accompagné d'une abolition ou d'une diminution des réflexes ostéotendineux
- Le déficit moteur est généralement accompagné de fasciculations
QRM21 (chapitre 8)
Concernant le syndrome parkinsonien, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- La triade parkinsonienne, akinésie, rigidité et tremblement de repos, peut être incomplète
- La démarche peut être « bégayante »/freezing ou encore festinante
- La rigidité est élastique
- Le tremblement est généralement rapide
- Le tremblement persiste généralement à l'action
QRM22 (chapitre 8)
Concernant les mouvements anormaux, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Le tremblement essentiel est un tremblement de repos
- Le flapping tremor ou astérixis est une myoclonie négative
- Les dyskinésies sont souvent induites par des médicaments
- La dystonie peut intéresser tous les segments musculaires du corps
- Les tics peuvent être supprimés par la volonté pendant un temps variable
QRM23 (chapitre 8)
Concernant le syndrome cérébelleux, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Un syndrome cérébelleux axial peut orienter vers une lésion du vermis cérébelleux
- Un syndrome cérébelleux segmentaire hémicorporel droit peut évoquer une lésion de l'hémisphère cérébelleux droit
- Un syndrome cérébelleux ne peut être retrouvé en cas de lésion d'une voie afférente ou efférente du cervelet
- Un syndrome cérébelleux peut occasionner un tremblement intentionnel invalidant
- Un syndrome cérébelleux peut entraîner une dysarthrie avec une voix scandée et explosive
QRM24 (chapitre 8)
Concernant le syndrome cérébelleux, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- La marche est décrite comme talonnante
- La marche est décrite comme ébrieuse
- L'instabilité à la station debout est aggravée à la fermeture des yeux
- L'existence concomitante de troubles oculomoteurs est en défaveur de ce diagnostic
- Il est associé à une hypotonie
QRM25 (chapitre 8)
Concernant le syndrome vestibulaire, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Le vertige est typiquement une sensation de rotation
- Le vertige intense est typiquement accompagné de nausées, vomissements et pâleur
- Dans les vertiges intenses, la station debout peut être impossible
- Dans le syndrome vestibulaire périphérique, le signe de Romberg labyrinthique, la déviation des index et la latéropulsion à la marche se font typiquement de manière rotatoire dans tous les sens du plan
- Le syndrome vestibulaire central est dit « harmonieux »
QRM26 (chapitre 8)
Concernant les troubles de la marche, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- La marche talonnante oriente vers une ataxie d'origine proprioceptive
- La marche à petits pas et une réduction (ou perte) du ballant des bras orientent vers une origine pyramidale
- L'astasie-abasie correspond à une incapacité de se tenir debout et de marcher en l'absence de tout déficit moteur
- La rétropulsion est classique dans l'ataxie en lien avec une atteinte des régions préfrontales, bilatérales, corticales ou sous-corticales
- L'élargissement du polygone de sustentation oriente vers une ataxie cérébelleuse
QRM27 (chapitre 9)
Concernant la paralysie faciale centrale :
- Elle prédomine sur le territoire facial supérieur
- Elle est caractérisée par une dissociation automaticovolontaire : lors d'une émotion comme le rire, on peut voir une contraction normale de l'hémiface paralysée
- Un signe de Charles Bell traduit une atteinte du muscle releveur de la paupière supérieure
- Le nerf facial a des rapports anatomiques étroits avec la glande sublinguale
- Le nerf facial a aussi un rôle sensoriel (goût des deux tiers antérieurs de la langue)
QRM28 (chapitre 9)
Concernant la sémiologie de la vision :
- Une tumeur hypophysaire peut entraîner une hémianopsie bitemporale par atteinte du chiasma optique
- L'hémianopsie latérale homonyme signe une atteinte préchiasmatique homolatérale au déficit du champ visuel
- En cas d'atteinte du contingent intrinsèque du nerf III, on peut observer un myosis (= contraction pupillaire)
- En cas d'atteinte du contingent intrinsèque du nerf III, on peut observer une mydriase (= dilatation pupillaire)
- En cas de paralysie de fonction (= supranucléaire), le patient ne rapporte pas de diplopie
QRM29 (chapitre 9)
Concernant les nerfs crâniens :
- Le nerf trijumeau est un nerf sensitivomoteur.
- La sensibilité cornéenne est assurée par le nerf intermédiaire ou VIIbis
- En cas d'ophtalmoplégie internucléaire, l'œil en adduction présente souvent un nystagmus
- Le faisceau longitudinal médian relie les noyaux des nerfs III et IV au sein du tronc cérébral.
- Le nerf vague ou nerf X participe au système nerveux autonome sur le versant sympathique
QRM30 (chapitre 10)
À propos des troubles cognitifs, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Le comportement d'imitation pathologique témoigne d'un syndrome de l'hémisphère droit (chez le droitier)
- L'apathie ou les stéréotypies constituent des troubles comportementaux dysexécutifs (frontaux)
- L'anosognosie peut s'observer dans le syndrome de l'hémisphère droit (chez le droitier) et le syndrome dysexécutif/frontal
- L'agrippement pathologique témoigne d'un syndrome dysexécutif (frontal)
- L'atteinte du circuit hippocampo-mamillo-thalamique entraîne un syndrome dysexécutif (frontal)
QRM31 (chapitre 10)
À propos des troubles du langage, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- La répétition de mots et la désignation d'objets sont nécessaires pour évaluer le langage
- L'aphasie témoigne d'une dysfonction de la région périsylvienne de l'hémisphère droit chez le droitier
- L'aphasie de Wernicke est caractérisée par une expression orale non fluente avec des troubles qualitatifs prédominant sur l'articulation
- L'aphasie globale atteint sévèrement l'expression et la compréhension orale
- La dysarthrie est liée à une atteinte au niveau des hémisphères cérébraux ou de la fosse postérieure
QRM32 (chapitre 10)
À propos des déficits mnésiques, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ?
- Ils doivent être évoqués face à des oublis récurrents de mots
- Ils nécessitent de réaliser un test de dépistage de troubles cognitifs type mini mental state examination
- Ils témoignent d'une dysfonction des circuits hippocampo-mamillo-thalamo-frontaux
- Ils préservent les connaissances sémantiques
- Ils réalisent une amnésie lacunaire lorsqu'ils sont observés après la résolution d'un syndrome confusionnel
QRM33 (chapitre 11)
Concernant les propositions suivantes sur les crises d'épilepsie généralisées tonicocloniques (CTCG), laquelle (lesquelles) est (sont) juste(s) ?
- La phase tonique est de début progressif et peut évoluer vers une chute si le patient ne s'allonge pas
- La phase tonique est parfois concomitante d'un cri
- Une morsure du bord latéral de langue oriente fortement vers une CTCG
- La phase clonique dure en moyenne 2 à 3 minutes
- Le stertor correspond à la reprise respiratoire ample et bruyante observée pendant la phase post-critique
QRM34 (chapitre 11)
Concernant les propositions suivantes sur les crises d'épilepsie focales, laquelle (lesquelles) est (sont) juste(s) ?
- Elles peuvent être l'expression d'une crise symptomatique aiguë ou d'une épilepsie maladie
- Elles peuvent comporter des signes moteurs, sensitifs, végétatifs ou psychiques
- Elles débutent par un signal symptôme de grande valeur localisatrice par rapport à la région corticale initialement concernée
- Elles peuvent évoluer vers un état de mal focal ou généralisé
- Les différentes crises focales chez un même patient se présentent avec des manifestations souvent différentes d'une crise à l'autre
QRM35 (chapitre 12)
Concernant l'examen neurologique chez un patient comateux, quel(s) élément(s) oriente(nt) vers un tronc cérébral intact :
- Mise en évidence d'une décérébration à l'examen des réponses motrices aux stimuli douloureux
- Mise en évidence de pupilles égales et réactives à l'examen de la motilité intrinsèque
- Mise en évidence de mouvements d'errance conjuguée des yeux à l'examen de la motilité extrinsèque
- Mise en évidence de la présence d'un des deux réflexes cornéens
- Mise en évidence d'un phénomène des « yeux de poupée » à l'étude des réflexes oculocéphaliques
QRM36 (chapitre 12)
Concernant la lipothymie ou en cas de phase prodromale d'une syncope, quelle(s) proposition(s) est (sont) juste(s) :
- Le patient peut ressentir de violents accès vertigineux
- Le patient peut avoir des acouphènes
- Le patient peut avoir une diplopie monoculaire
- Le patient peut ressentir des secousses rythmiques dans ses jambes
- Le patient peut prévenir son entourage qu'il se sent « tomber dans les pommes »
QRM37 (chapitre 13)
Parmi ces éléments, le(s) quel(s) oriente(nt) vers une migraine :
- La survenue des céphalées aiguës depuis au moins 3 jours
- La présence d'une phono/photophobie
- La présence d'une mydriase unilatérale réactive, puis aréactive
- Une hémianopsie latérale homonyme persistante depuis au moins 1 heure
- Des troubles visuels suivis d'une aphasie persistante depuis au moins 1 heure
QRM38 (chapitre 13)
Parmi ces éléments, le(s) quel(s) oriente(nt) vers un syndrome méningé :
- Une hémicrânie pulsatile habituelle
- La présence de vomissements
- La présence d'une photophobie
- Un signe de Kernig
- Un signe de Brudzinski
QRM39 (chapitre 14)
Le(s) neurotransmetteur(s) utilisé(s) au niveau du SNVO par le neurone post-ganglionnaire pour communiquer avec les effecteurs est (sont) :
- La noradrénaline
- L'acétylcholine
- Le glutamate
- La sérotonine
QRM40 (chapitre 14)
Le ganglion végétatif du SNVO contrôlant le tonus vasculaire est :
- Le ganglion cœliaque
- Le ganglion mésentérique supérieur
- Le ganglion mésentérique inférieur
- La glande médullosurrénale
QRM41 (chapitre 14)
Parmi les classes médicamenteuses suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) contre-indiquée(s) en cas de glaucome :
- Les alphabloquants
- Les bêtabloquants
- Les anticholinergiques
- Les agonistes cholinergiques
QRM42 (chapitre 15)
Dans le syndrome myasthénique, on peut retrouver :
- Un déficit moteur fluctuant
- Des troubles de la déglutition
- Des phénomènes myotoniques
- Des troubles sensitifs des membres inférieurs
- Une atteinte respiratoire
QRM43 (chapitre 15)
Dans le syndrome myopathique, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
- Le déficit moteur est le plus souvent distal et ascendant
- La myotonie se définit par une lenteur à la décontraction musculaire
- Les ROT sont abolis
- Les ROT sont vifs et diffusés
- Il n'y a pas de déficit sensitif
QRM44 (chapitre 15)
Dans le syndrome radiculaire, la douleur ou radiculalgie :
- A un trajet systématisé le long d'un dermatome
- Est maximale au repos
- Est augmentée par la toux
- Se nomme cruralgie lorsqu'elle intéresse la racine L5
- Se nomme sciatalgie lorsqu'elle intéresse la racine S1
QRM45 (chapitre 15)
Lors de la sciatique S1 :
- La douleur irradie dans le dos du pied et le gros orteil
- La douleur irradie dans la fesse
- Il peut exister un déficit moteur du triceps sural
- Le réflexe patellaire peut être aboli
- Le réflexe calcanéen peut être aboli
QRM46 (chapitre 15)
Dans les syndromes tronculaires, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) ?
- Le syndrome tronculaire est lié à l'atteinte d'un nerf ou tronc nerveux composé de la réunion de plusieurs racines
- Le signe systématique observé dans les syndromes tronculaires est une hyporéflexie ostéotendineuse
- Un signe de Tinel correspond au déclenchement de paresthésies systématisées aux segments distaux du tronc nerveux
- Les douleurs neuropathiques sont le trouble sensitif le plus couramment observé
- L'amyotrophie est un signe précoce
QRM47 (chapitre 15)
Dans les syndromes tronculaires, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) ?
- L'atteinte du nerf radial provoque un déficit de l'extension du poignet et une hyporéflexie tricipitale
- L'atteinte du nerf ulnaire, au niveau du canal carpien, provoque un déficit de la pince pouce-index
- L'atteinte du nerf radial provoque un déficit sensitif du bord médial de la main
- L'atteinte du nerf fémoral est responsable d'un déficit moteur du quadriceps fémoral
- L'atteinte du nerf fibulaire provoque un déficit moteur du tibial antérieur et des extenseurs des orteils, avec un pied « tombant »
QRM48 (chapitre 15)
Le syndrome de Brown-Séquard :
- Correspond à un syndrome de section médullaire complète
- Se traduit par un syndrome pyramidal controlatéral à la lésion
- Se traduit par un déficit proprioceptif homolatéral à la lésion
- Se traduit par un déficit thermoalgique homolatéral à la lésion
- Se traduit par un syndrome cordonal dorsal controlatéral à la lésion
QRM49 (chapitre 15)
Le syndrome de compression médullaire :
- Comprend un syndrome supralésionnel
- Comprend un syndrome lésionnel qui correspond le plus souvent à un syndrome radiculaire
- Constitue une urgence
- Lorsqu'il existe un niveau sensitif, celui-ci indique le niveau de la lésion
- Comprend un syndrome sous-lésionnel qui traduit la souffrance des cordons médullaires sous la lésion
QRM50 (chapitre 15)
Dans les syndromes du tronc cérébral, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) ?
- Le syndrome alterne témoigne d'une atteinte des voies longues homolatérale à la lésion, et d'une atteinte des nerfs crâniens controlatérale à la lésion
- Le syndrome de Weber est un syndrome alterne mésencéphalique
- Le syndrome de Foville est un syndrome alterne bulbaire
- Le syndrome de Weber est responsable d'une paralysie du nerf crânien III homolatéral, et d'une hémiplégie controlatérale à la lésion
- Le syndrome de Millard-Gübler est responsable d'une paralysie faciale centrale homolatérale et d'une hémiplégie controlatérale atteignant la face
QRM51 (chapitre 15)
Dans le syndrome de Wallenberg, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) ?
- Il est secondaire à une atteinte protubérantielle ventrolatérale basse
- Il est caractérisé par un signe de Claude Bernard-Horner controlatéral à la lésion
- Il est caractérisé par une hémiparésie respectant la face, controlatérale à la lésion
- Il est caractérisé par des troubles de la déglutition, qui peuvent mettre en jeu le pronostic vital
- Il est le plus souvent secondaire à un accident vasculaire cérébral, par occlusion de l'artère de la fossette latérale du bulbe
QRM52 (chapitre 15)
Concernant le thalamus, quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) vraie(s) ?
- Il fait partie de noyaux gris centraux avec le striatum, le globus pallidus, la substance noire et autres
- Il n'a pas de connexions avec les voies sensitives
- Devant une lésion thalamique, les troubles les plus fréquents sont sensitifs, surtout en cas de composante douloureuse associée
- La main thalamique est caractérisée par un tremblement de repos lent comme on peut voir dans la maladie de Parkinson
- Un coma inexpliqué peut être causé par une lésion thalamique bilatérale
QRM53 (chapitre 15)
Par rapport aux lésions du cortex cérébral, l'examen clinique peut trouver :
- Des troubles de la marche dans les lésions temporales
- Des troubles de la mémoire de type amnésie rétrograde dans des lésions hippocampiques
- Un déficit moteur ± sensitif dans les lésions du cortex central
- Une héminégligence visuospatiale et de schéma corporel gauche dans une lésion de lobe pariétal droit chez un patient droitier
- Des troubles de perception auditive pour les lésions du cortex occipital
QRM54 (chapitre 16)
Dans un service de gériatrie, vous êtes appelé pour une patiente connue autonome et orientée, ayant chuté en sortant de la douche. En arrivant sur place, vous constatez une plaie du scalp. Elle répond en boucle à vos questions qu'elle doit aller voir sa mère. Elle ouvre les yeux à la demande, les pupilles sont isochores et réactives. Elle réagit à la douleur par un mouvement de retrait de son bras. À combien s'élève le score de Glasgow ?
- Glasgow 11 : Y3 V4 M4
- Glasgow 8 : Y3 V4 M1
- Glasgow 9 : Y4 V4 M1
- Glasgow 7 : Y3 V3 M1
- Glasgow 10 : Y3 V3 M4
QRM55 (chapitre 16)
Évaluer le score NIHSS d'un patient mutique, ne comprenant aucun ordre, sans autre déficit :
- NIHSS 5
- NIHSS 7
- NIHSS 9
- NIHSS 15
- NIHSS 25
QRM56 (chapitre 16)
Quel score de Rankin modifié (mRS) définit un patient en post-AVC avec pour séquelle une hémiparésie droite mineure qui lui permet de marcher seul avec une canne, et ne nécessitant aucune aide humaine ni pour la marche et les actes courants de la vie quotidienne ?
- mRS 0-1
- mRS 2
- mRS 3
- mRS 4
- mRS 5
QRM57 (chapitre 17)
Une femme de 28 ans consulte pour des céphalées inhabituelles depuis 3 jours, elle est apyrétique à 37,2 °C, les autres constantes sont normales. Cliniquement, vous constatez une hémiparésie droite discrète. Vous décidez de réaliser une ponction lombaire, quelle(s) précaution(s) prenez-vous avant ?
- Réalisation d'un bilan d'hémostase en urgence
- Réalisation d'une IRM cérébrale en urgence
- Réalisation d'une TDM cérébrale en urgence
- Réalisation d'une IRM médullaire en urgence
- La PL est formellement contre-indiquée du fait de l'hémiparésie droite
QRM58 (chapitre 17)
Un homme de 42 ans consulte pour récidive de céphalée depuis 2 jours. Il avait consulté aux urgences il y a 48 heures pour des céphalées inhabituelles, une PL avait été réalisée, normale. Il avait été conclu à une sinusite. Depuis, il rapporte des céphalées associées à des nausées et vomissements, soulagés par le repos allongé. Vous suspectez un syndrome post-PL. Quelle(s) mesure(s) aurai(en)t pu permettre d'éviter cette hypotension du LCS ?
- Prescription de caféine
- Réalisation de la PL en décubitus
- Utilisation d'une aiguille atraumatique
- Utilisation d'une aiguille de 20 G
- Hyperhydratation intraveineuse
QRM59 (chapitre 17)
Un homme de 72 ans consulte aux urgences pour céphalées fébriles, vous avez réalisé une ponction lombaire dans l'hypothèse d'une méningoencéphalite virale. Quel(s) résultat(s) à la ponction lombaire serai(en)t compatible(s) avec ce diagnostic ?
- 52 éléments
- Protéinorachie à 1,2 g/L
- Hypoglycorachie
- Méningite à prédominance lymphocytaire
- Liquide purulent
QRM60 (chapitre 18)
À propos de l'EEG :
- Le rythme de fond est prédominant dans les régions occipitales bilatérales et disparaît à l'ouverture des yeux
- L'électrode portant le nom O2 est l'électrode occipitale gauche
- L'hypopnée lors d'un EEG permet de favoriser l'apparition d'anomalies paroxystiques
- Un EEG classique dure 5 à 10 minutes
- Les différents rythmes générés que l'on observe sont décrits en fonction de leurs amplitudes
QRM61 (chapitre 18)
À propos des potentiels évoqués :
- Lors des potentiels évoqués visuels, les électrodes de recueil sont placées sur les paupières
- Les potentiels évoqués visuels permettent de mettre en évidence des lésions démyélinisantes du nerf optique
- Grâce aux potentiels évoqués auditifs, on peut étudier la voie auditive, de la cochlée jusqu'aux cortex auditifs primaires
- Les potentiels évoqués somesthésiques peuvent être utilisés pour monitorer les patients au bloc opératoire
- On utilise à la fois l'EEG et les potentiels évoqués en réanimation pour évaluer le pronostic de réveil ou le pronostic fonctionnel
QRM62 (chapitre 19)
En cas de neuropathie, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) qui peu(ven)t correspondre à une atteinte myélinique ?
- En détection à l'aiguille au repos, enregistrement de fasciculations
- En stimulodétection, ralentissement des vitesses de conduction
- En stimulodétection, allongement des latences distales motrices
- En stimulodétection, diminution des latences d'ondes F
- En stimulodétection, perte d'amplitude des réponses motrices après stimulation distale.
QRM63 (chapitre 19)
Lors de stimulations répétitives à 3 Hz, la mise en évidence d'un décrément de 10 % est compatible avec :
- Une atteinte de la myéline du système nerveux central
- Une myasthénie
- Une neuropathie axonale
- Un décrément physiologique
- Une myopathie
QRM64 (chapitre 20)
À propos des indications neurologiques de la tomodensitométrie, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
- La TDM cérébrale est indiquée en urgence en cas de céphalée aiguë inhabituelle
- La TDM cérébrale est indiquée en urgence en cas de lombalgies
- La TDM cervicoencéphalique avec injection permet d'analyser le parenchyme cérébral et les vaisseaux cervicaux
- La TDM rachidienne permet une bonne visualisation de la moelle spinale
- La TDM rachidienne permet une bonne visualisation des structures osseuses
QRM65 (chapitre 20)
À propos de la tomodensitométrie cérébrale, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
- Un cerveau âgé présente généralement plus d'atrophie qu'un cerveau plus jeune
- Un élargissement des sillons corticaux peut être un signe d'atrophie
- Une hyperdensité parenchymateuse spontanée peut être un signe d'hémorragie
- Une hémorragie chronique apparaît moins dense qu'une hémorragie aiguë
- Une tumeur ne prenant pas le contraste est invisible en TDM
QRM66 (chapitre 20)
À propos de la tomodensitométrie cérébrale, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ?
- Une ischémie cérébrale aiguë peut se manifester par une hyperdensité parenchymateuse spontanée
- Une ischémie cérébrale aiguë peut se manifester par une hyperdensité intravasculaire spontanée
- Une atrophie corticale peut être un signe de maladie neurodégénérative ou simplement un signe radiologique lié à l'âge
- La TDM est un bon examen pour visualiser les lésions osseuses du crâne et du rachis
- La TDM est un bon examen pour analyser la taille des ventricules
QRM67 (chapitre 21)
À propos des indications de l'IRM :
- Un déficit neurologique soudain est une indication à une IRM en urgence
- Une suspicion d'hématome médullaire est une indication à une IRM en urgence
- L'IRM permet de visualiser des lésions inflammatoires aux étages encéphalique et médullaire
- Une altération mnésique progressive doit faire rechercher une atrophie hippocampique en IRM
- L'IRM peut être utile pour caractériser certaines lésions traumatiques
QRM68 (chapitre 21)
À propos des séquences IRM :
- La séquence de diffusion permet de calculer l'ADC
- La séquence FLAIR peut permettre de dater un infarctus cérébral
- Une séquence IRM permet de visualiser la paroi des vaisseaux cervicaux
- On analyse généralement la moelle spinale en coupes coronales
- L'atrophie corticale hippocampique doit être recherchée en séquence T2 coronale
QRM69 (chapitre 21)
À propos des signes IRM :
- Une lésion ischémique récente apparaît en hyposignal diffusion
- Une sténose vasculaire cérébrale peut être visualisée en séquence ToF
- La séquence de susceptibilité magnétique permet de visualiser les lésions axonales secondaires aux traumatismes crâniens
- Une lésion inflammatoire active prend classiquement le contraste
- Une lésion inflammatoire médullaire apparaît en hypersignal T2
QRM70 (chapitre 22)
Quelle(s) est (sont) parmi les propositions suivantes, la ou les artère(s) qui alimente(nt) le cercle artériel de la base du cerveau (polygone de Willis) :
- L'artère basilaire
- L'artère carotide externe gauche
- L'artère carotide interne droite
- L'artère vertébrale droite
- L'artère carotide interne gauche
QRM71 (chapitre 22)
Quelle(s) est (sont) la (les) principale(s) force(s) de l'échodoppler artériel cervical et intracrânien :
- Examen non invasif, non irradiant
- Parfaite reproductibilité interopérateur
- Possibilité d'une évaluation hémodynamique des lésions artérielles
- Bonne visualisation du parenchyme cérébral
- Réalisable au lit du patient et en urgence avec une très bonne disponibilité
QRM72 (chapitre 23)
À propos de l'imagerie par scintigraphie cérébrale par DaTSCAN® :
- C'est une imagerie anatomique
- C'est une imagerie fonctionnelle moléculaire
- Elle permet d'analyser l'intégrité des voies dopaminergiques
- Elle est réalisée grâce à l'administration d'un radiotraceur qui cible les transporteurs de la dopamine
- Elle montre en cas d'imagerie normale une fixation du radiotraceur au niveau du cortex cérébral
QRM73 (chapitre 23)
À propos de la TEP cérébrale au 18F-FDG (tomographie par émission de positons) :
- La TEP cérébrale au 18F-FDG peut permettre d'orienter le diagnostic vers une maladie neurodégénérative
- La TEP cérébrale au 18F-FDG nécessite d'être à jeun avant la réalisation de l'examen
- La TEP cérébrale au 18F-FDG permet d'étudier le métabolisme cérébral glucidique au repos
- La TEP au 18F-FDG est un examen fortement irradiant
- La TEP cérébrale permet d'éviter de réaliser une IRM cérébrale
QRM74 (chapitre 24)
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) au sujet de la surveillance de l'hypertension intracrânienne ?
- L'échodoppler transcrânien permet de dépister la présence d'une hypertension intracrânienne
- La fenêtre acoustique temporale est absente dans plus d'un cas sur deux
- Le mode couleur permet de visualiser le flux dans les artères cérébrales alors que le mode doppler permet de mesurer les vitesses d'écoulement
- La mesure directe de la pression intracrânienne nécessite la pose d'un dispositif invasif exposant à un faible risque de complication hémorragique ou infectieuse
- Il n'existe qu'une seule modalité de mesure directe de la pression intracrânienne
QRM75 (chapitre 24)
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) à propos de l'oxygénation cérébrale et de l'EEG ?
- La mesure de l'état d'oxygénation cérébrale peut reposer sur la mesure de la saturation veineuse brachiale en oxygène
- La mesure directe de la saturation cérébrale en oxygène peut se faire de manière invasive
- La saturation veineuse jugulaire en oxygène peut être prise en défaut en cas d'ischémie localisée
- L'enregistrement de l'activité électrique par EEG permet de détecter des crises épileptiques infracliniques
- L'enregistrement par EEG haute résolution pour les troubles de la conscience se fait en pratique courante
QRM76 (chapitre 25)
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) juste(s) ?
- Les cellules microgliales sont des lymphocytes résidents du système nerveux central
- Les astrocytes participent à la formation de la barrière hématoencéphalique
- Les neurones sont les cellules les plus abondantes du système nerveux central
- Les bandes oligoclonales sont des pics d'immunoglobulines spécifiques du liquide cérébrospinal
- Les cellules microgliales peuvent avoir des fonctions de réparation tissulaire
QRM77 (chapitre 25)
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) juste(s) ? La (les) barrière(s) d'échange entre le système nerveux central et le compartiment périphérique est (sont) :
- Les plexus choroïdes
- La barrière hématoencéphalique
- Le système glymphatique
- Les ganglions lymphatiques
- La dure-mère
QRM78 (chapitre 26)
Concernant le phénomène d'hyperexcitabilité neuronale, quelle(s) est (sont) la (les) réponses(s) juste(s) ?
- C'est un phénomène qui peut être physiologique
- C'est un phénomène qui peut être pathologique
- C'est observé principalement durant la période fœtale de maturation cérébrale
- Il existe essentiellement dans les structures hippocampiques
- L'épilepsie est une pathologie caractérisée par un phénomène d'hyperexcitabilité neuronale anormale
QRM79 (chapitre 26)
Le phénomène d'hyperexcitabilité est expliqué par :
- Une diminution du seuil de déclenchement du potentiel d'action
- Une production excessive de neurotransmetteurs excitateurs à la suite de l'arrivée d'un potentiel d'action
- La survenue d'une salve de potentiels d'action anormale
- L'absence de période réfractaire au niveau de la membrane axonale après le passage d'un potentiel d'action
- Le déclenchement d'un potentiel post-synaptique excitateur géant
QRM80 (chapitre 26)
Concernant le phénomène d'hyperexcitabilité neuronale, quelle(s) est (sont) la (les) réponses(s) juste(s) ?
- Il dépend de la libération de neurotransmetteurs inhibiteurs tels que le glutamate
- Le GABA est le neurotransmetteur inhibiteur le plus important pour l'équilibre de cette balance excitation/inhibition
- Une hyperexcitabilité anormale d'un groupe de neurones est visible en EEG sous la forme d'une pointe
- Il reste localisé au niveau d'un neurone et ne se propage pas
- La balance excitation/inhibition neuronale peut être modulée par des médicaments antiépileptiques
QRM81 (chapitre 27)
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) concernant le débit sanguin cérébral (DSC) ?
- Il correspond à 15 % du débit cardiaque total
- Le DSC normal est > 50 mL/100 g/min
- Il est plus élevé au niveau de la substance grise par comparaison à la substance blanche
- La zone de pénombre ischémique correspond à un DSC < 20 mL/100 g/min
- L'infarctus cérébral survient en dessous d'un DSC de 10 mL/100 g/min
QRM82 (chapitre 27)
Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) vraie(s) concernant la régulation de la circulation cérébrale ?
- L'autorégulation cérébrale permet d'adapter l'apport sanguin à l'activité métabolique cérébrale
- Une élévation modérée du CO2 augmente le tonus vasomoteur des artères cérébrales
- Une élévation modérée du CO2 diminue le tonus vasomoteur des artères cérébrales
- Une hypoxie sévère augmente le tonus vasomoteur des artères
- Une hypoxie sévère diminue le tonus vasomoteur des artères
QRM83 (chapitre 28)
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?
- L'un des facteurs de risque communs aux maladies neurodégénératives est l'avancée en âge
- La maladie d'Alzheimer est la plus fréquente des maladies neurodégénératives
- La neurodégénérescence peut être définie comme une perte brutale apparemment spontanée des neurones et synapses du système nerveux central
- Des mécanismes neurodégénératifs sont parfois retrouvés dans des maladies inflammatoires du système nerveux
- La neurodégénérescence ne dépend que d'un seul facteur : l'agrégation de protéines mal conformées
QRM84 (chapitre 28)
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?
- Une atrophie cérébrale marquée est normale avec le vieillissement
- Il est souvent retrouvé des agrégats de protéines dans le parenchyme cérébral de personnes âgées sans trouble cognitif
- L'apparition d'un syndrome amnésique hippocampique est normale avec l'âge
- L'architecture microvasculaire cérébrale ne subit aucune modification avec l'âge
- C'est la densité des lésions neurodégénératives corrélée à la clinique qui permet de distinguer vieillissement cérébral normal et pathologique
QRM85 (chapitre 28)
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?
- Les différentes familles de maladies neurodégénératives se distinguent par la nature des agrégats protéiques dans le parenchyme cérébral
- Les agrégats protéiques retrouvés dans les maladies neurodégénératives sont formés de fibrilles insolubles de protéines mal conformées
- Les lésions neurodégénératives progressent dans le temps et dans l'espace de manière imprédictible
- Le défaut des voies de dégradation des protéines peut être l'un des mécanismes des maladies neurodégénératives
- On retrouve un seul type de lésion dans la maladie d'Alzheimer : l'amyloïdopathie
QRM86 (chapitre 28)
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) ?
- La neuro-inflammation dans les maladies neurodégénératives est toujours réactionnelle à la formation des agrégats protéiques
- Le stress oxydant pourrait participer à la neurodégénérescence
- Les lésions neurovasculaires rendent imperméables la barrière hématoencéphalique, ce qui pourrait contribuer à la neurodégénérescence
- L'altération du système glymphatique entraîne un excès de clairance du peptide amyloïde, ce qui pourrait contribuer à la neurodégénérescence
- La microglie et les astrocytes sont impliqués dans la neuro-inflammation
QRM87 (chapitre 29)
Les phénomènes de plasticité cérébrale :
- Peuvent être induits pas l'apprentissage et l'expérience
- Sont très présents lors de la maturation cérébrale et du développement
- Expliquent la récupération fonctionnelle parfois observée après une agression cérébrale
- Mettent en jeu des processus structurels et fonctionnels obligatoirement synchrones
- Sont favorisés par la réaction gliale et inflammatoire post-lésionnelle
QRM88 (chapitre 29)
Quelle(s) est (sont) l'(les) assertion(s) vraie(s) à propos de la plasticité structurale cérébrale ?
- Elle désigne les capacités du cerveau à faire évoluer sa structure
- Elle n'implique que la substance grise
- Elle est surtout sous-tendue par les fortes capacités de mitose des neurones
- Le cerveau humain ne dispose pas de propriétés intrinsèques de neurogenèse
- Après une lésion cérébrale, des phénomènes de germination axonale et d'arborisation dendritique à des fins réparatrices peuvent être observés
QRM89 (chapitre 29)
Quelle(s) est (sont) l'(les) assertion(s) vraie(s) à propos de la plasticité fonctionnelle cérébrale ?
- Elle peut s'observer à tous les niveaux d'organisation cérébrale
- Au niveau synaptique, seule l'activité de l'élément présynaptique peut être modulée
- La vicariance désigne la capacité du cerveau à réduire ses dépenses métaboliques en cas de lésion cérébrale
- La spécialisation des régions cérébrales rend impossible le transfert de fonction en cas de lésion cérébrale
- La connectivité cérébrale désigne les propriétés du cerveau à générer une activité électromagnétique
QRM90 (chapitre 30)
Quelle(s) proposition(s) est (sont) juste(s) ?
- Il existe des récepteurs spécifiques pour la sensibilité protopathique
- La sensibilité douloureuse est l'une des composantes de la sensibilité protopathique
- Les fibres véhiculant les informations douloureuses sont de diamètre beaucoup plus petit que celles véhiculant la sensibilité épicritique
- Les fibres véhiculant les informations douloureuses permettent une conduction beaucoup plus rapide que celles véhiculant la sensibilité épicritique
- Les fibres Aδ et C se terminent dans les couches superficielles de la moelle spinale
QRM91 (chapitre 30)
Quelle(s) proposition(s) est (sont) juste(s) ?
- L'intensité de la douleur est codée par l'amplitude des potentiels d'action
- La voie néospinothalamique correspond à la voie sensoridiscriminative qui véhicule les informations nociceptives
- La voie néospinothalamique correspond à la voie émotionnelle qui véhicule les informations nociceptives
- Les systèmes de contrôle de la nociception sont tous inhibiteurs
- La théorie du gate control rend compte du mécanisme par lequel une stimulation non douloureuse peut réduire la transmission d'un message douloureux
QRM92 (chapitre 31)
Quelle(s) est (sont) l'(les) assertion(s) vraie(s) à propos d'un effet indésirable :
- Il se distingue d'un évènement indésirable par le lien de causalité qui existe avec le médicament
- Il est défini comme grave quand il nécessite d'être traité
- Il est défini comme grave quand il conduit à une hospitalisation
- Il ne s'observe qu'en cas de mésusage d'un médicament
- Il peut être généré en cas d'interaction médicamenteuse
QRM93 (chapitre 31)
Quelle(s) est (sont) l'(les) assertion(s) vraie(s) à propos des interactions médicamenteuses :
- Elles peuvent être pharmacodynamiques ou pharmacocinétiques
- Elles sont parfois recherchées pour antagoniser l'effet d'un traitement
- En cas d'augmentation du taux plasmatique d'un médicament, l'origine de l'interaction est pharmacodynamique
- Les antiépileptiques font partie des traitements les plus à risque d'interaction en neurologie
- Le cytochrome 3A4 est à l'origine de la plupart des interactions pharmacocinétiques
QRM94 (chapitre 31)
Quelle(s) est (sont) l'(les) assertion(s) vraie(s) à propos des populations à risque d'interactions médicamenteuses :
- Il existe des facteurs de variabilités liés à des variables génétiques, physiologiques ou environnementales
- La dénutrition peut entraîner une baisse du taux de médicament lié aux protéines plasmatiques
- La déshydratation peut entraîner une baisse du taux de médicament circulant par modification de son excrétion rénale
- La grossesse ne modifie pas la pharmacocinétique du médicament
- Le jus de pamplemousse et le millepertuis peuvent modifier la pharmacocinétique d'un médicament
Corrigés
QRM1 (chapitre 2)
Réponse : B, C, E
On trouve des oligodendrocytes dans la substance grise (oligodendrocytes satellites) comme dans la substance blanche (oligodendrocytes interfasciculaires). Les astrocytes fibrillaires sont localisés dans la substance blanche, les astrocytes protoplasmiques dans la substance grise. La couche sous-piale formée par les prolongements astrocytaires est appelée glia limitans.
QRM2 (chapitre 2)
Réponse : A, D
La plupart de ces protéines ont des implications dans la pathologie neurologique. La MBP et la MOG sont des protéines impliquées dans la formation de la myéline. L'aquaporine 4 est une protéine localisée au niveau du pied vasculaire des astrocytes. La dystrophine est une protéine d'ancrage de l'appareil myofilamentaire à la membrane des cellules musculaires squelettiques.
QRM3 (chapitre 2)
Réponse : A, C, D
On ne trouve pas de myofibrilles, donc pas de sarcomères dans les cellules musculaires lisses (uniquement rhabdomyocytes et cardiomyocytes). Seule la contraction des rhabdomyocytes est sous le contrôle du système nerveux somatique.
QRM4 (chapitre 3)
Réponse : B, C, D, E
QRM5 (chapitre 3)
Réponse : B
QRM6 (chapitre 3)
Réponse : A, D, E
QRM7 (chapitre 4)
Réponse : A, B, C, E
QRM8 (chapitre 4)
Réponse : B, E
QRM9 (chapitre 4)
Réponse : B
QRM10 (chapitre 5)
Réponse : A, D, E
QRM11 (chapitre 5)
Réponse : B, C, D
QRM12 (chapitre 6)
Réponse : B
QRM13 (chapitre 6)
Réponse : A, D, E
QRM14 (chapitre 6)
Réponse : B, E
QRM15 (chapitre 7)
Réponse : B, C
QRM16 (chapitre 7)
Réponse : A, D, E
QRM17 (chapitre 8)
Réponse : B, D
QRM18 (chapitre 8)
Réponse : A, D
QRM19 (chapitre 8)
Réponse : A, E
QRM20 (chapitre 8)
Réponse : C
QRM21 (chapitre 8)
Réponse : A, B
QRM22 (chapitre 8)
Réponse : B, C, D, E
QRM23 (chapitre 8)
Réponse : A, B, D, E
QRM24 (chapitre 8)
Réponse : B, E
QRM25 (chapitre 8)
Réponse : A, B, C
QRM26 (chapitre 8)
Réponse : A, C, D, E
QRM27 (chapitre 9)
Réponse : B, E
QRM28 (chapitre 9)
Réponse : A, D, E
QRM29 (chapitre 9)
Réponse : A
QRM30 (chapitre 10)
Réponse : B, C, D
QRM31 (chapitre 10)
Réponse : A, D, E
QRM32 (chapitre 10)
Réponse : B, C, D, E
QRM33 (chapitre 11)
Réponse : B, C, E
QRM34 (chapitre 11)
Réponse : A, B, C, D
QRM35 (chapitre 12)
Réponse : B, C, E
QRM36 (chapitre 12)
Réponse : B, E
QRM37 (chapitre 13)
Réponse : B
QRM38 (chapitre 13)
Réponse : B, C, D, E
QRM39 (chapitre 14)
Réponse : A, B
Les neurones post-ganglionnaires du SNVO utilisent principalement la noradrénaline comme neurotransmetteur, mais il existe une exception pour les glandes sudoripares qui sont activées par le SNVO via l'acétylcholine. QRM40 (chapitre 14)
Réponse : D
La glande médullosurrénale est innervée par des fibres préganglionnaires du SNVO qui font synapse en son sein avec des cellules chromaffines sécrétrices de catécholamines. Cette glande est donc considérée comme le ganglion végétatif du système circulatoire.
QRM41 (chapitre 14)
Réponse : C
La filtration de l'humeur aqueuse s'effectue au niveau de l'angle iridocornéen, lieu d'insertion des muscles dilatateurs de l'iris. L'inhibition du SNVP ou l'activation du SNVO favorisent cette dilatation et empêchent un drainage correct de l'humeur aqueuse, ce qui augmente la pression intraoculaire et le risque de glaucome.
QRM42 (chapitre 15)
Réponse : A, B, E
QRM43 (chapitre 15)
Réponse : B, E
QRM44 (chapitre 15)
Réponse : A, C, E
QRM45 (chapitre 15)
Réponse : B, C, E
QRM46 (chapitre 15)
Réponse : A, C
QRM47 (chapitre 15)
Réponse : A, D, E
QRM48 (chapitre 15)
Réponse : C
QRM49 (chapitre 15)
Réponse : B, C, E
QRM50 (chapitre 15)
Réponse : B, D
QRM51 (chapitre 15)
Réponse : D, E
QRM52 (chapitre 15)
Réponse : A, C, E
QRM53 (chapitre 15)
Réponse : C, D
QRM54 (chapitre 16)
Réponse : A
QRM55 (chapitre 16)
Réponse : C
QRM56 (chapitre 16)
Réponse : B
QRM57 (chapitre 17)
Réponse : A, C
QRM58 (chapitre 17)
Réponse : C
QRM59 (chapitre 17)
Réponse : A, B, D
QRM60 (chapitre 18)
Réponse : A
QRM61 (chapitre 18)
Réponse : B, C, D, E
QRM62 (chapitre 19)
Réponse : B, C
QRM63 (chapitre 19)
Réponse : B
QRM64 (chapitre 20)
Réponse : A, C, E
C'est la TDM rachidienne qui est indiquée en urgence en cas de lombalgies. Elle permet une mauvaise visualisation de la moelle spinale.
QRM65 (chapitre 20)
Réponse : A, B, C, D
Une tumeur apparaît certes souvent isodense mais elle présente généralement des signes indirects liés à son effet de masse qui permettent d'en faire le diagnostic même en l'absence de prise de contraste.
QRM66 (chapitre 20)
Réponse : C, D, E
Une ischémie cérébrale aiguë peut se manifester par une hypodensité, un effet de masse ou un effacement du cortex mais pas par une hyperdensité du parenchyme.
QRM67 (chapitre 21)
Réponse : A, B, C, D, E
QRM68 (chapitre 21)
Réponse : A, B, C
On analyse généralement la moelle spinale en coupe sagittale.
QRM69 (chapitre 21)
Réponse : B, C, D, E
Une lésion ischémique récente apparaît en hypersignal diffusion.
QRM70 (chapitre 22)
Réponse : A, C, E
QRM71 (chapitre 22)
Réponse : A, C, E
QRM72 (chapitre 23)
Réponse : B, C, D
L'imagerie en médecine nucléaire est une imagerie fonctionnelle et moléculaire, et délivre peu ou pas d'information anatomique au contraire de la TDM ou de l'IRM. Le radiotraceur a une fixation striatale.
QRM73 (chapitre 23)
Réponse : A, B, C
La TEP au 18F-FDG est un examen faiblement irradiant. Elle permet une analyse fonctionnelle, et ne remplace pas l'IRM qui permet une analyse anatomique et structurale. Les imageries en radiologie conventionnelle et en médecine nucléaire sont deux analyses complémentaires.
QRM74 (chapitre 24)
Réponse : A, C, D
La fenêtre acoustique est absente dans 10 à 15 % des cas. Il existe deux modalités de mesure : par capteur intraparenchymateux et par capteur externe branché à une dérivation ventriculaire externe.
QRM75 (chapitre 24)
Réponse : B, C, D
La mesure de l'état d'oxygénation cérébrale peut reposer sur la mesure de la saturation veineuse jugulaire en oxygène. L'enregistrement par EEG haute résolution est un examen spécialisé réalisé en centre de référence.
QRM76 (chapitre 25)
Réponse : B, D, E
QRM77 (chapitre 25)
Réponse : A, B, C
QRM78 (chapitre 26)
Réponse : A, B, E
L'hyperexcitabilité est nécessaire dans les processus physiologiques comme la mémorisation, les phénomènes de plasticité neuronale par exemple. Elle peut être pathologique lorsque la balance inhibition/excitation est déséquilibrée comme dans la douleur et l'épilepsie par exemple. Ce phénomène existe tout le long de la vie et n'est pas limité à des structures cérébrales spécifiques.
QRM79 (chapitre 26)
Réponse : C, D, E
L'hyperexcitabilité est liée à la production d'un PDS (salves de potentiels d'action) à la suite d'un potentiel post-synaptique géant. Il n'existe pas de période réfractaire entre les potentiels d'action générés lors de cette salve. Le seuil de déclenchement du potentiel d'action reste le même et la quantité de neurotransmetteurs délivrée à la suite d'un potentiel d'action reste identique.
QRM80 (chapitre 26)
Réponse : B, C, E
Le glutamate est excitateur et le GABA inhibiteur, ce sont les deux principaux (mais pas exclusifs) neurotransmetteurs permettant cette balance. L'hyperexcitabilité se propage de neurones en neurones selon les réseaux de connexion. Une hyperexcitabilité anormale d'un groupe neuronal se voit sous la forme d'une pointe sur l'électroencéphalogramme.
QRM81 (chapitre 27)
Réponse : A, B, C, D, E
QRM82 (chapitre 27)
Réponse : C, E
L'autorégulation cérébrale correspond au maintien du DSC face aux variations de la pression artérielle. L'adaptation du DSC à l'activité métabolique correspond au couplage neurovasculaire.
QRM83 (chapitre 28)
Réponse : A, B, D
QRM84 (chapitre 28)
Réponse : B, E
QRM85 (chapitre 28)
Réponse : A, B, D
QRM86 (chapitre 28)
Réponse : B, E
QRM87 (chapitre 29)
Réponse : A, B, C
QRM88 (chapitre 29)
Réponse : A, E
QRM89 (chapitre 29)
Réponse : A
QRM90 (chapitre 30)
Réponse : B, C, E
QRM91 (chapitre 30)
Réponse : B, E
QRM92 (chapitre 31)
Réponse : A, C, E
QRM93 (chapitre 31)
Réponse : A, B, D, E
QRM94 (chapitre 31)
Réponse : A, B, E