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Une maladie sous le feu des projecteurs

Une maladie sous le feu des projecteurs
Question Réponse Commentaire

Un homme de 65 ans sans antécédent médical personnel ni familial consulte pour une apathie marquée ainsi que des difficultés dans les actes de la vie quotidienne (habillage, lavage) qui évoluent depuis environ deux mois et qui viennent compliquer un état dépressif résistant à une prise en charge médicamenteuse et psychothérapique, évoluant depuis 4 mois.
L’examen neurologique ne relève pas de déficit focalisé sensitif ni moteur, pas de syndrome parkinsonien. L’évaluation neuropsychologique réalisée met en évidence une aphasie antérieure, un trouble du discours de type frontal ainsi qu’une apathie majeure sans tristesse de l’humeur ainsi que des troubles praxiques. Il n’y a pas d’hallucination. On ne note pas de fluctuation de son état clinique. Une IRM est alors réalisée et vous est présentée (figure 1).

Quel diagnostic vous suggère ces résultats d’imagerie ? Comment affinez-vous votre diagnostic et comment le confirmer ?

 

Figure 1 : IRM

 

Diagnostic : maladie de Creutzfeldt-Jakob. L’IRM encéphalique de diffusion met en évidence un hypersignal de l’ensemble du ruban cortical très évocateur dans ce contexte d’une maladie de Creutzfeldt Jakob. L’EEG peut mettre en évidence un tracé pseudopériodique à 1 Hz diffus. La recherche de la protéine 14.3.3, marqueur d’une lyse neuronale accélérée, est classiquement positive. La certitude diagnostique est apportée par l’examen anatomopathologique de l’encéphale et la recherche de la protéine prion par western blot au sein de ce tissu.

Cas proposé par : Olivier Casez
Pôle de Psychiatrie et de Neurologie, CHU GRENOBLE, 30843 Grenoble cedex 9 - OCasez@chu-grenoble.fr

Références : 
Kallenberg K, Schulz-Schaeffer WJ, Jastrow U, et al (2006). Creutzfeldt-Jakob disease: comparative analysis of MR imaging sequences. AJNR Am J Neuroradiol, 27: 1459-1462.
S. Nougaret, H. Brunel, G. Bourbotte, et al (2007). Diffusion-weighted MRI in sporadic Creutzfeldt-Jakob disease. J Neuroradiol, 34(4): 260-6.

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Question Réponse Commentaire

Une femme de 58 ans, au principal antécédent de polykystose rénale, est prise en charge en urgence pour une hémorragie sous arachnoïdienne sur anévrysme de la communicante antérieure compliquée initialement d’une hydrocéphalie. L’embolisation initiale se complique d’un hématome interhémisphérique se résorbant au cours des quinze jours suivants. Elle quitte le service de réanimation au bout de trois semaines pour la neurologie avec un syndrome « confusionnel ».
À sa prise en charge en neurologie, on note une désorientation temporospatiale, des troubles mnésiques et un syndrome fronto-dysexécutif. Il n’y a pas de trouble de la vigilance. Son examen neuropsychologique met en évidence les éléments suivants : un syndrome amnésique avec un trouble de la mémoire antérograde très amélioré par l’indiçage (sur matériel verbal et visuospatial), de nombreuses fabulations. Il s’y associe un syndrome frontal dysexécutif dominé par des persévérations et des difficultés d’évocation.
L’imagerie encéphalique (IRM, TDM cérébrale de perfusion) réalisé à trois semaines de l’HSA, met en évidence une évolution favorable de l’hématome inter-hémisphérique, l’absence de spasme artériel ou de lésion cérébrale survenue dans l’intervalle.
Elle n’a jamais consommé d’alcool ni d’autres toxiques. Son bilan biologique métabolique est sans particularité.

Quel diagnostic syndromique neuropsychologique avez-vous fait ?

Diagnostic : syndrome amnésique par lésion du « basal forebrain » (cerveau basal antérieur). Cette patiente présente un syndrome amnésique par lésion du basal forebrain (région basale sous frontale, cf. figure 1 : région comprenant le noyau basal de Meynert, les noyaux du septum, les bandelettes diagonales de Broca). Il s’agit d’une entité syndromique associant une amnésie antérograde sévère très sensible à l’indiçage, une amnésie rétrograde variable et des fabulations importantes. Il peut s’y associer un syndrome fronto-dysexécutif. Les premiers patients décrits avaient présenté ce type de troubles suite d’hémorragie sous arachnoïdienne sur rupture d’anévrysme de la communicante antérieure. L’évolution est généralement de pronostic relativement favorable avec critique puis disparition des fabulations et plus progressivement, amélioration du syndrome amnésique et du syndrome frontal.

 

Figure 1 : IRM encéphalique en coupe coronale, pondérée en T1 inversion récupération.

 

Cas proposé par : Olivier Casez
Pôle de Psychiatrie et de Neurologie, CHU GRENOBLE, 30843 Grenoble cedex 9 - OCasez@chu-grenoble.fr

Références : 
Damasio AR, Graff-Radford NR, Eslinger PJ, et al (1985). Arch Neurol., 42(3): 263-71.
Damasio AR, Eslinger PJ, Damasio H, et al (1985). Multimodal amnesic syndrome following bilateral temporal and basal forebrain damage. Arch Neurol., 42(3): 252-9.

Céphalée brutale et récidivante

Céphalée brutale et récidivante
Question Réponse Commentaire

Un homme de 49 ans a présenté en 2008, au volant de sa voiture, une céphalée brutale en hémicrânie, régressive sous antalgiques. Le lendemain, la céphalée récidive à l’othostatisme et n’est plus calmée par les antalgiques. Elle régresse par contre en position couchée.

L’examen clinique n’objective pas d’anomalie hormis cette céphalée positionnelle.

L’interrogatoire retrouve la notion d’une fracture de côte basi-thoracique gauche suite à un choc 2 ans auparavant.
Un TDM cérébral sans et avec injection de produit de contraste est considéré comme normal. L’évolution 3 jours plus tard est marquée par l’installation d’une diplopie binoculaire par paralysie du VI bilatérale.

 

Une IRM cérébrale est réalisée :

La prise de contraste méningée évoque le diagnostic d’hypotension spontanée du liquide céphalo-rachidien (LCR) . Elle est due à une hypovolémie du LCR. Il existe souvent dans les jours précédents, un contexte de traumatisme rachidien mineur, d’activité sportive ou d’efforts inhabituels ou parfois une notion de maladie du tissu élastique qui va se compliquer d’une brèche durale.
Les céphalées sont sévères, installées plus ou moins progressivement, parfois brutalement ou à l’occasion d’un effort. Elles sont pulsatiles occipitales irradiant vers les épaules ou le rachis cervical, à l’orthostatisme et disparaissent en décubitus après quelques minutes. Il s’y associe des nausées, vomissements, acouphènes ou diplopie par atteinte du VI.
Si la céphalée devient permanente, deux complications sont à rechercher : la thrombophlébite cérébrale et l’hématome sous-dural compressif.
La confirmation diagnostique est basée sur l’IRM cérébrale notamment les séquences T1 sans et avec injection de gadolinium qui visualisent une prise de contraste diffuse des pachyméninges supra et infra-tentorielles s’étendant parfois jusqu’à la moelle cervicale. Ces anomalies peuvent manquer dans 1/3 des cas. L’IRM peut mettre en évidence des hématomes ou des hydromes sous-duraux, un effacement des citernes prépontiques et chiasmatiques et de petits ventricules. La recherche de la brèche n’a que peut d’intérêt en pratique.
Le traitement repose sur les mesures symptomatiques ainsi que la réalisation parfois à répéter d’un blood-patch épidural lombaire.

Pour en savoir plus : 
Mokri B(1999) Mayo Clin Proc. 1999 Nov;74(11):1113-23. Bousser MG (2005) Rev Neurol (Paris) ; 6-7: 700-702
Chan EK (2011) J Child Neurol ; 26(6) : 761-766

Piège diagnostique

Piège diagnostique
Question Réponse Commentaire

Un homme de 62 ans aux antécédents de surcharge pondérale, de tabagisme sevré, d’HTA se plaignait de lombo-sciatalgies bilatérales résistantes au traitement antalgique. Trois semaines plus tard, il est hospitalisé devant l’installation d’une rétention aiguë d’urine et de troubles de la marche dans un contexte sub-fébrile.

L’examen clinique objectivait un déficit sensitivo-moteur proximal et distal des membres inférieurs asymétrique prédominant à gauche, des réflexes ostéo-tendineux abolis aux membres inférieurs, des réflexes cutanés plantaires indifférents, une hypoesthésie en selle et un globe vésical nécessitant un sondage urinaire.

Une première IRM lombaire réalisée sans injection de gadolinium à la recherche d’une spondylodiscite ne retrouvait que des discopathies L4-L5, L5-S1 non pathogènes.

Une PL retrouvait une hyperprotéinorachie (2g/l) et une réaction lymphocytaire (66 lymphocytes/mm3).

Une nouvelle IRM était réalisée quelques jours plus tard devant l’aggravation de l’état du patient malgré une antibiothérapie débutée après la PL.

 

 

Qu'en pensez-vous ?

L’aspect IRM est évocateur d’une fistule artério-veineuse durale de la moelle épinière.
 

Il s’agit de la malformation vasculaire de la moelle épinière la plus commune. 
 

Les symptômes associent dans la forme complète un déficit sensitivo-moteur des membres inférieurs et des troubles sphinctériens. Une douleur dorsale peut être présente. Le tableau peut parfois mimer une atteinte du second motoneurone. Les hommes de plus de 60 ans sont les plus concernés. Les symptômes peuvent évoluer souvent sur plusieurs mois ou années mais la présentation peut être aussi subaiguë. 
 

La fistule correspond à une connexion anormale entre une branche d’une artère et une veine radiculaires durales, le plus souvent au niveau thoracique bas ou lombaire. Une augmentation de la pression veineuse puis une congestion veineuse intra-médullaire résultent de ce shunt. Cette congestion se traduit pas une myélopathie voire un infarctus médullaire qui explique la symptomatologie.
 

L'IRM médullaire met en évidence une augmentation du calibre médullaire avec un hypersignal T2 intra-médullaire s'étendant sur plusieurs segments vertébraux traduisant l'œdème (fig. 1).On peut noter une dilatation des vaisseaux péri-médullaires plutôt sur la face dorsale de la moelle qui peuvent être déjà visibles en hypersignal T2 (effet d’absence de signal ou « flow void » ) ou au moins réhaussés après injection de gadolinium (fig.2).
 

L'artériographie peut confirmer le diagnostic si besoin en mettant en évidence les vaisseaux dilatés tortueux et le shunt.
 

Le traitement repose sur l'embolisation par voie endovasculaire de la veine durale incriminée ou une prise en charge chirurgicale. La morbidité semble équivalente avec les 2 procédures, La durée d'hospitalisation est plus courte après traitement endovasculaire mais au prix d'un risque de récurrence plus important.

Pour en savoir plus : 
Krings T. et al. Spinal dural arteriovenous fistulas. Am J Neuroradiol. 2009 ;30 :639-648
Narvid J. Spinal dural arteriovenous fistulae : Clinical Features and Long-term results. Neurosurgery.2008;62:159-167
Cho K.T. et al. Treatment of spinal cord perimedullary arteriovenous fistula : embolization versus surgery. Neurosurgery.2005;56:232-239
Gilberston J. et al. Spinal dural arteriovenous fistulas : MR and myelographic findings, AJNR. 1995;16:2049-2057

Crise convulsive chez une patiente malgache

Crise convulsive chez une patiente malgache
Question Réponse Commentaire

Une femme de 25 ans, d’origine malgache, s’est présenté aux Urgences pour un syndrome fébrile initialement attribué à une infection urinaire. Un traitement par ceftriaxone a été proposé. Le lendemain, elle est hospitalisée en raison de deux crises convulsives inaugurales. L’examen neurologique est normal, mais la patiente signale des myalgies diffuses.

Un scanner cérébral, puis une IRM cérébrale sont rapidement réalisées.

Fig 1 : TDM cérébral. Coupes axiales sans puis avec injection de produit de contraste.
Fig 2 : IRM cérébrale. Coupes axiales en séquence T2-FLAIR puis T1 après injection de gadolinium.

Quelle est votre hypothèse diagnostique ?

On suspecte une neurocysticercose devant l’association de crises convulsives, d’une lésion corticale frontale gauche avec œdème péri-lesionnel chez une patiente d’origine malgache.
La neurocysticercose est principalement retrouvée dans les pays dont les conditions d’hygiène sanitaire sont insuffisantes.
 

Le parasite incriminé est un ver, le Taenia solium, dont les œufs sont absorbés accidentellement notamment en mangeant de la viande de porc contaminée, insuffisamment cuite.
Les larves issue de ces œufs migrent dans l’organisme avec une prédilection pour les organes richement vascularisés notamment le SNC.
 

Les symptômes cliniques vont dépendre de la localisation des kystes (parenchyme, ventricules, méninges, moelle épinière). Les localisations extra-parenchymateuses sont surtout retrouvées chez l’adulte.
Les plus courantes manifestations sont les crises convulsives (partielles± généralisées) dans 70 à 90% des cas. Les autres modes de présentation associent des céphalées, déficits focaux , hypertension intracrânienne, syndrome méningé, atteinte des nerfs crâniens, ataxie, troubles visuels voire troubles du comportement.
 

Le diagnostic repose sur en premier lieu le TDM cérébral qui met en évidence une ou plusieurs lésions de petite taille (< 20 mm) hypodenses avec un réhaussement en couronne après injection et un œdème péri-lésionnel (Fig 1). Il existe souvent une calcification au sein du kyste punctiforme ou de très petite taille. En IRM, la lésion apparaît en iso- ou relatif hypersignal et est parfois mieux visualisée avec l’œdème périlésionnel en hypersignal en FLAIR. Le même réhaussement en couronne est noté après injection (Fig 2). Le diagnostic différentiel avec un tuberculome dans les régions d’endémie peut se poser mais les lésions sont généralement plus volumineuses, de contours plus irréguliers et l’œdème plus sévère.
 

Un diagnostic sérologique est disponible mais n’a pas une sensibilité de 100%
La prise en charge thérapeutique repose sur le traitement anti-parasitaire (albendazole ou praziquantel) qui réduisent le nombre et la taille des lésions auquel peut être associé une corticothérapie et un traitement symptomatique. 
 

En cas de lésion unique, le pronostic est généralement bon avec une disparition des images en 6 mois dans 60% des cas. En cas de lésions multiples ou de lésions calcifiées, les crises d’épilepsie peuvent récidiver fréquemment malgré le traitement. Les localisations extra-parenchymateuses ont un pronostic plus réservé.

 

Pour en savoir plus : 
Carabin et al. Clinical manifestations associated with neurocysticercosis : a sytematic review. PloS Negl Trop Dis 2011 ; 5 (5):e1152
Singhi. Neurocysticercosis. Ther Adv Neurol Disord. 2011; 4(2):67-81

Modifications de signal intra-médullaire

Modifications de signal intra-médullaire
Question Réponse Commentaire

Une femme de 50 ans, sans antécédent, fut hospitalisée pour le bilan de troubles sensitifs des 4 membres évoluant depuis 1 mois. Elle décrivait des troubles de l’équilibre et une sensation d’engourdissement et de peau cartonnée des deux pieds s’étant étendue progressivement au tronc puis au deux membres supérieurs.

L’examen clinique montrait une démarche ataxique, des troubles de la kinesthésie et de la graphesthésie ainsi qu’une hypopallesthésie aux 4 membres ; on notait une faiblesse des 4 membres, des réflexes ostéo-tendineux conservés et un réflexe cutané plantaire indifférent à gauche. Il n’y avait pas de déficit thermo-algique, pas de trouble sphinctérien ni de douleurs rachidiennes.

L’IRM médullaire réalisée est la suivante :

Quelle est votre diagnostique ?

Hypersignal intramédullaire, en séquence T2, des cordons postérieurs de la moelle, étendu de C2 à C5 visible en coupes sagittale et transversale.

Cette atteinte cordonnale postérieure clinique et radiologique est très évocatrice d’une carence en vitamine B12. Associée à un atteinte des cordons latéraux, elle réalise le tableau typique de sclérose combinée de la moelle qui constitue une cause curable classique mais rare d’atteinte médullaire progressive de l’adulte.

La carence en cuivre, beaucoup plus rare, peut se traduire par un tableau clinique et radiologique similaire.

Pour en savoir plus :
Mankad K, Kullmann DM, Davagnanam I . Neurological manifestation of vitamin B12 deficiency. Am J Med. 2010 Jun;123(6):e1-2.

Un LCR jaune comme de l'urine

Un LCR jaune comme de l'urine
Question Réponse Commentaire

C’est un homme de 59 ans qui présente une ataxie cérébelleuse progressive apparue il y a 5 à 6 ans. Il a également une hypoacousie bilatérale prédominant à droite, pour laquelle il a été appareillé.

Dans ses antécédents, on retient un traumatisme crânien en 1986 grave responsable d'un coma, avec un arrachement du plexus brachial à droite pour lequel il a été traité avec mise en place d’agrafes.

L’examen neurologique retrouve une ataxie cérébelleuse avec un élargissement du polygone de sustentation et une hypermétrie des deux membres inférieurs. Le patient marche habituellement avec une canne.

L’IRM encéphalique est réalisée. Deux images en séquence écho de gradient pondérée T2 vous sont données.

Le LCR retrouvait un liquide xanthochromatique (« jaune comme de l’urine » selon le patient) avec des sidérophages.

 

Quel est votre diagnostic?

 

Le diagnostic est celui d’hémosidérose marginale également appelée sidérose superficielle du système nerveux central. Il s’agit d’un syndrome clinico-radiologique rare caractérisé par des dépôts d’hémosidérine dans les leptoméninges et dans les régions sous-piales.

La présentation clinique classique est une triade associant une ataxie cérébelleuse, une surdité de perception bilatérale et une myélopathie avec syndrome pyramidal fréquemment limitée à une hyper-réflexie. Un déclin cognitif peut être retrouvé.

L’hémosidérose marginale peut être secondaire à une cause de saignement occulte et répété dans les espaces sous arachnoïdiens dont l’origine peut être:

  • Une tumeur cérébrale ou rachidienne (21% des cas)
  • Un trauma crânien ou vertébral (13 % des cas)
  • Un traumatisme du plexus brachial (6% des cas)
  • Une malformation vasculaire (9% des cas)
  • Un antécédent de neurochirurgie (7% des cas)
  • Une angiopathie amyloïde (3% des cas)

Dans 35 à 50% des cas, il n’y pas de cause retrouvée.

A l’IRM, l’hémosidérine est mise en évidence sous la forme d’hyposignaux en séquence écho de gradient pondérée T2

Le scanner cérébral est peu sensible. Il peut montrer un liseré spontanément hyperdense autour du tronc cérébral qui est évocateur du diagnostic

Le liquide cérébro-spinal est anormal dans 75 %, il peut être xanthochromatique ou hémorragique et son analyse peut retrouver une hyperprotéinorachie, une élévation des taux de fer et de ferritine ainsi que la présence de sidérophages

L'évolution se fait habituellement vers une lente dégradation clinique en l'absence de traitement étiologique d’où l’intérêt de la recherche active d’une cause de saignement.

Dans le cas de notre patient nous complétons l’exploration l’étiologique par une IRM médullaire qui n’a pas retrouvé de cause de saignement accessible à un traitement.

L’hémosidérose marginale est potentiellement sous-diagnostiquée. La réalisation des IRM permettra vraisemblablement de retrouver davantage de cas similaires. Il faudra garder en mémoire la présentation clinique et les images radiologiques

Références:
-Kondziella D1, Lindelof M, Haziri D, Larsen VA, Kruse A. Diagnostic and therapeutic challenges in superficial CNS siderosis. Dan Med J. 2015;62(5). pii: A5079.
-Levy M et al., Superficial siderosis: a case report and review of the literature, Nature Clinical Practice Neurology, (2007) 3, 54-58 
-Lannareix V1, Basseka H, Catalaa I, Sevely A, Marson F, Manelfe. Superficial siderosis of the central nervous system: a case report. CJ Radiol. 2002:1850-2.

Que disent ces mains ?

Que disent ces mains ?
Question Réponse

Vous êtes de garde aux Urgences et vous recevez un homme de 50 ans qui présente un tableau de dissection de la crosse de l’aorte étendue aux troncs supra-aortiques confirmé par l’angioscanner.

 

 

Une maladie de Marfan

Un signal recueilli au-dessus de l'oreille

Un signal recueilli au-dessus de l'oreille
Question Réponse

 

Quel signal est recueilli à partir de ce casque support pour un capteur fixé au niveau de l’écaille temporale gauche, au-dessus de l’arcade zygomatique ?

Monitoring des vitesses circulatoires
Cérébrales par Doppler trans-crânien

 

Il s’agit du signal « vitesse circulatoire cérébrale » au niveau de l’artère cérébrale moyenne gauche recueilli de manière continue par Doppler trans-crânien en mode monitoring. Dans ce cas il s’agit une évaluation de la réactivité cérébro-vasculaire au Diamox  mesurant la réserve vasomotrice cérébrale en aval d’une sténose de la carotide. L’évaluation intègre le monitoring de la pression artérielle (Finapres) et du CO2 de fin d’expiration (capnographe).

Un indice : les acides gras

Un indice : les acides gras
Question Réponse Commentaire
  • Homme de 42 ans, porteur d’une maladie d’Addison
  • Troubles de la marche depuis 1 an
  • ATCD fam
  • iliaux : 2 demi-frères avec troubles de la marche (1 avec épilepsie)
  • Examen clinique :
     
    • Paraparésie spastique
    • Hypoesthésie distale symétrique MI
    • Syndrome cérébelleux
    • Poursuite saccadique
  • IRM cérébrale (FLAIR, et T1 Gd)

Quel est votre  diagnostic ?

L’adrénoleucodystrophie (ALD)

C’est une maladie génétique récessive liée à l’X qui atteint principalement la substance blanche, les corticosurrénales et les testicules.

Elle est responsable d’un défaut du catabolisme dans le peroxysome des acides gras à très longue chaîne. La maladie comporte une grande variabilité phénotypique.

La forme cérébrale de l’enfant est la plus fréquente et représente environ la moitié des cas ; elle survient après un développement psychomoteur normal mais entraîne une détérioration cérébrale rapidement progressive conduisant à un état végétatif en deux ans.

La seconde forme la plus fréquente est l’adrénomyéloneuropthie de l’adulte (25 %), secondaire à la démyélinisation des cordons postérieurs et antérieurs de la moelle tandis que la substance blanche cérébrale est respectée. Les symptômes neurologiques apparaissent en moyenne à l’âge de 30 ans sous la forme d’une paraparésie spastique et d’une neuropathie périphérique modérée.

Les autres formes, plus rares, sont l’atteinte cérébrale de l’adolescent (5 %), de l’adulte (3 %)
et une insuffisance surrénalienne isolée (10 %).
De plus, certains sujets sont porteurs de l’anomalie génétique mais restent asymptomatiques (8 %).

On classera à part les sujets hétérozygotes symptomatiques : quinze à vingt pour cent des femmes hétérozygotes pour l’ALD peuvent développer une paraparésie spastique progressive, une neuropathie périphérique, des troubles sphinctériens se manifestant en moyenne à 43 ans (+/– 11 ans).

Référence : Desloques et al. 2006

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